Un géant encapuchonné, par une soirée glaciale et pluvieuse, fait son apparition devant un château qu'il ne connait que trop bien. Jadis, il en fut le maitre des lieux, menant une entreprise de mercenaires sans pitié.
Il avait d'abord été sous les ordres d'un démon sanguinaire dont le nom faisait vibrer le cœur de terreur de quiconque entendait ne serait ce que le nom.
Mais ce démon, il l'avait tué, par traitrise, pour prendre se place.
Ainsi était née son entreprise.
Tant de souvenirs surgissaient du passé, tels des fantômes. Mjllnir avait ) tout moment l'impression qu'il allait surgir de nulle part ses anciens camarades, ces anciens clients ... son mentor, morte il y a bien longtemps, l'elfe qui l'avait pris sous son aile : Myst.
Ses clients ... Les Valkyries en étaient la part la plus importante, si ce n'était la majorité.
Mjllnir eu un petit rire, en repensant à leur chef, Hystryane, à l'une de leur plus fervente officier, Théris, à sa compagne, qu'il avait dû quitter à regret, Alexandrie...
Tant de nostalgie ...
- Ça ne me ressemble pas d'être nostalgique, dit il, s'approchant de la porte et caressant le bâtant de sa grande main. Il fut un temps où si on m'avait dit que je me retrouverai dans cette situation, j'aurai franchement rit... Et que le prophète aurait passé un mauvais moment.
Il rit de bon cœur, d'un rire franc, en se rappelant de son comportement d'alors.
Mais c'était fini, il était devenu un géant respectable. Siégeant au conseil de son clan, parmi les anciens.
Pourtant, il hésitait, il n'osait pas frapper à la porte, ni même essayer de l'ouvrir.
Tout avait l'air désert, les fenêtres d'un noir d'encre, ne laissaient paraitre aucun signe de vie vers l'extérieur.
*Que se passe t-il là dedans ? Que s'est-il passé durant mon absence ?*
Il entreprit de faire le tour du château, pour gagner du temps sur le moment où il devrait ouvrir la porte.
Rien. Pas un bruit ne parvenait à ses oreilles. Aucune lumière n'accrochaient son regard.
De retour à la porte en chêne, Mjllnir pris une grande inspiration et tira sur les battants, et ... les poignées lui restèrent dans les mains.
Il les regarda, d'abord sans comprendre, puis éclata de rire. Il décida d'attendre l'aube pour voir si quelqu'un sortirait du château. Sinon, il tenterait autre chose.
Il avait d'abord été sous les ordres d'un démon sanguinaire dont le nom faisait vibrer le cœur de terreur de quiconque entendait ne serait ce que le nom.
Mais ce démon, il l'avait tué, par traitrise, pour prendre se place.
Ainsi était née son entreprise.
Tant de souvenirs surgissaient du passé, tels des fantômes. Mjllnir avait ) tout moment l'impression qu'il allait surgir de nulle part ses anciens camarades, ces anciens clients ... son mentor, morte il y a bien longtemps, l'elfe qui l'avait pris sous son aile : Myst.
Ses clients ... Les Valkyries en étaient la part la plus importante, si ce n'était la majorité.
Mjllnir eu un petit rire, en repensant à leur chef, Hystryane, à l'une de leur plus fervente officier, Théris, à sa compagne, qu'il avait dû quitter à regret, Alexandrie...
Tant de nostalgie ...
- Ça ne me ressemble pas d'être nostalgique, dit il, s'approchant de la porte et caressant le bâtant de sa grande main. Il fut un temps où si on m'avait dit que je me retrouverai dans cette situation, j'aurai franchement rit... Et que le prophète aurait passé un mauvais moment.
Il rit de bon cœur, d'un rire franc, en se rappelant de son comportement d'alors.
Mais c'était fini, il était devenu un géant respectable. Siégeant au conseil de son clan, parmi les anciens.
Pourtant, il hésitait, il n'osait pas frapper à la porte, ni même essayer de l'ouvrir.
Tout avait l'air désert, les fenêtres d'un noir d'encre, ne laissaient paraitre aucun signe de vie vers l'extérieur.
*Que se passe t-il là dedans ? Que s'est-il passé durant mon absence ?*
Il entreprit de faire le tour du château, pour gagner du temps sur le moment où il devrait ouvrir la porte.
Rien. Pas un bruit ne parvenait à ses oreilles. Aucune lumière n'accrochaient son regard.
De retour à la porte en chêne, Mjllnir pris une grande inspiration et tira sur les battants, et ... les poignées lui restèrent dans les mains.
Il les regarda, d'abord sans comprendre, puis éclata de rire. Il décida d'attendre l'aube pour voir si quelqu'un sortirait du château. Sinon, il tenterait autre chose.